Un constat préoccupant pour la santé de nos jeunes au Québec
La santé métabolique des jeunes est en déclin, un phénomène inquiétant qui a des implications vastes et complexes, non seulement sur leur bien-être physique, mais aussi sur leur santé mentale. Des preuves scientifiques croissantes mettent en lumière une interaction bidirectionnelle entre ces deux dimensions de la santé, suggérant que les déséquilibres métaboliques peuvent contribuer à des troubles psychiatriques, et vice versa.
Un tiers des enfants au Québec souffrent de surpoids ou d’obésité, ce qui est un facteur de risque majeur pour les maladies cardiométaboliques. Cette prévalence soulève des inquiétudes quant à l’augmentation du risque de maladies chroniques à mesure que ces enfants grandissent. Selon une étude de l’Université de Sherbrooke discuté dans l’ouvrage le plus récent de Pierre Lavoie, depuis les années 1980, la capacité cardiovasculaire des jeunes a diminué de 30 %, et les adolescents de 17 ans pèsent en moyenne 7 kg de plus.
La prévalence du diabète chez les jeunes Québécois a augmenté au cours des dernières décennies. Selon l’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ), le nombre de personnes de moins de 20 ans atteintes de diabète est passe de de 2 450 à 3 265 entre 2001 et 2019, soit une augmentation notable.
La santé mentale des jeunes Québécois a aussi connu une détérioration notable ces dernières années. Dans un rapport publié en 2024, Monzée a montré l’évolution constante de la prescription de psychotropes (psychostimulants, antidépresseurs et antipsychotiques) depuis 20 ans au Québec. En 2019, l’auteur et ses collègues pédiatres, avaient montré que le Québec prescrivait 3 à 4 fois plus de psychostimulants qu’ailleurs au Canada. Cela avait donné lieu à une commission d’enquête parlementaire qui, à son tour, sonna l’alarme quant au nombre d’élèves et étudiants diagnostiqués et médicamentés.
Depuis, les données recueillies ont confirmé la tendance, mais aussi les difficultés du milieu à cerner les vraies difficultés à l’origine des troubles mentaux chez les jeunes. En 2022-2023, l’Institut de statistique du Québec (ISQ) déclarait qu’environ 20 % des jeunes de 14-15ans ont reçu un diagnostic de trouble anxieux, tandis que 25 % avaient un diagnostic de trouble déficitaire de l’attention (TDA/TDAH).
Il est clair que certaines habitudes de vie ont un effet délétère sur la santé tant physique que mentale des jeunes. Par exemple, les données montrent également que la majorité des jeunes Canadiens passent plus de 2 heures par jour devant les écrans, avec une attention particulière sur l’impact négatif potentiel sur leur développement. Selon l’Enquête québécoise sur l’activité physique et le sport (EQAPS) 2018-2019, seulement 19 % des enfants sont considérés comme actifs durant leurs temps libres, ce qui signifie que 81 % ne pratiquent pas suffisamment d’activité physique. L’INSPQ estime aussi que près de 40 % des élèves du secondaire fréquentent des écoles publiques situées à moins de 750 mètres d’au moins deux restaurants-minute, augmentant l’accès et la tentation de consommer de la malbouffe. En 2022-2023, 37 % des élèves du secondaire ont consommé de la malbouffe provenant d’un restaurant ou d’un casse-croûte au moins une fois pour le dîner durant la semaine d’école selon des données de statistiques Québec.
De nombreuses habitudes de vie apparaissent d’autant plus problématiques qu’elles peuvent créer une combinaison parfaite augmentant le potentiel de développer plusieurs maladies chroniques métaboliques et psychologiques conduisant à la cascade de prescription pharmaceutique et nourrissant un mal-être croissant.
Et pourtant, les maladies chroniques liées au style de vie peuvent être stabilisées et même souvent renversées si on change nos habitudes de vie.
À qui s’adresse le programme Propulsion santé jeunesse?
Ce programme s’adresse à tous les enfants et des adolescents de 7 à 17 ans qui désirent améliorer leur santé métabolique et psychologique (sous supervision des parents obligatoire jusqu’à 14 ans et fortement suggérée jusqu’à 18 ans) afin de prévenir, renverser ou optimiser leur condition selon ces cinq axes:
- Le diabète de type 2
- Le pré-diabète
- Le surpoids et l’obésité
- L’anxiété, l’anxio-dépression et la dépression, ainsi que le TDAH
- Présence de symptômes: perte d’attention et de concentration, opposition, provocation
Ne laissez pas ces problèmes de santé définir votre avenir et celui de votre enfant. En adoptant une approche proactive, basée sur la science et l’expérience clinique de nos experts, vous pouvez améliorer la santé de votre enfant et réduire les risques de complications à long terme.
Le programme ne s’adresse pas uniquement aux jeunes patients, car les parents et la fratrie seront impliqués également dans le cadre des aspects préventifs, mais aussi la transformation des habitudes de vie nécessaires pour optimiser les facteurs de protection et les déterminants de la santé physique et mentale.
Qu’est-ce que le programme propulsion santé jeunesse?
La santé des enfants au Québec est un sujet complexe qui englobe divers aspects, notamment l’optimisation de la santé physique, mentale et métabolique. Ce pourquoi, en collaboration avec des experts du domaine, le Centre Axis propose ce nouveau programme permettant d’accompagner nos jeunes vers un avenir meilleur.
En unissant les forces de nos professionnels, nous proposons un programme échelonné sur 9 mois permettant d’accompagner votre enfant afin d’optimiser l’ensemble des piliers de sa santé. Le programme comprend:
En début de programme
- Évaluation initiale avec une travailleuse sociale dans le but d’évaluer les facteurs de protection et les déterminants de la santé, ainsi que les habitudes de vie, sur lesquels on doit amener des changements de comportements.
- Prises de sang initiales afin de mesurer des marqueurs métaboliques, inflammatoires et nutritionnels dans une perspective préventive
- Évaluation initiale avec un médecin pour l’interprétation des bilans sanguins réalisés (en présentiel obligatoire) et des conseils médicaux.
- Analyse de la composition corporelle par bioimpédance (proportion de masse maigre et de masse grasse dans le corps) au début du programme et possibilité d’en refaire une à la fin du programme si la visite finale se fait en présentiel.
- Évaluation initiale avec un kinésiologue avec interprétation des données de bioimpédance.
- Une formation théorique de base de 1 heure donnée en personne par un médecin avec expertise en santé métabolique et en TDAH, pour bien comprendre les racines des problèmes et les solutions possibles
- Une formation pratique de 1 heure donnée en personne par un docteur en neuroscience, pour avoir tous les outils en main pour démarrer du bon pied un changement de comportement durable
- Pendant les conférences destinées aux parents, les enfants seront amenés à participer à des ateliers interactifs avec nos professionnels de la santé.
Durant le reste du programme
- Un suivi ainsi qu’une évaluation finale avec une travailleuse sociale pour faire le point sur la situation psycho-sociale
- Prises de sang finales afin de mesurer l’amélioration sur les marqueurs métaboliques, inflammatoires et nutritionnels dans une perspective préventive.
- Rencontre finale avec le médecin pour objectiver l’amélioration de la santé métabolique et prévoir la suite des choses (peut se faire en télémédecine)
- 9 séances de coaching réparties sur 9 mois (au début toutes les deux semaines, puis aux mois, puis aux deux mois)
- Fiches techniques et documentation audio-visuelle de soutien envoyés les semaines où il n’y a pas de coaching sur des thèmes complémentaires
- Livret du participant comprenant plusieurs outils pratiques, pour vous accompagner tout au long de votre parcours
Cette démarche s’accompagne d’un soutien comportemental et émotionnel indispensable pour maintenir les changements à long terme. Nous offrons des outils éducatifs pour comprendre l’impact des habitudes de vie sur la santé, des stratégies de gestion du stress, ainsi qu’un suivi régulier pour ajuster les actions en fonction des progrès. En intégrant ces piliers fondamentaux, notre programme s’attaque non seulement aux symptômes mais aussi aux causes profondes des déséquilibres métaboliques et psychologiques.
Adopter un mode de vie sain, c’est une opportunité de retrouver une vitalité perdue, d’améliorer sa qualité de vie et de réduire considérablement le risque de maladies chroniques et de complications à long terme. Notre mission est de guider chaque individu sur ce chemin, avec une approche fondée sur la science et notre vaste expertise clinique, l’écoute et l’engagement envers la santé globale.
Faites le choix d’agir dès aujourd’hui! Ensemble, nous pouvons transformer le cours de votre santé et ouvrir la voie à un avenir plus équilibré et plein de vitalité.
Pourquoi le programme Propulsion santé jeunesse est-il pertinent?
La santé métabolique des jeunes est de plus en plus fragile, ce qui a des conséquences non seulement sur leur corps, mais aussi sur leur santé mentale. De nombreuses études montrent qu’un déséquilibre dans le métabolisme, c’est-à-dire la façon dont le corps gère l’énergie, les sucres et les graisses, peut influencer directement l’humeur, les émotions et même la mémoire. Comprendre ces liens peut nous aider à mieux prendre soin de leur santé globale.
Aujourd’hui, beaucoup de jeunes sont touchés par des problèmes comme l’obésité, le pré-diabète ou le syndrome métabolique. Ces troubles sont souvent causés par une alimentation riche en sucres et aliments transformés, un manque d’activité physique, et des habitudes de vie qui favorisent le stress. Mais ce qui est moins connu, c’est que ces déséquilibres dans le corps peuvent aussi avoir un impact important sur le cerveau.
Par exemple, lorsque le métabolisme est perturbé, il peut provoquer une inflammation chronique dans le corps. Cette inflammation peut atteindre le cerveau et affecter des zones importantes pour réguler l’humeur, comme l’hippocampe. Résultat : des symptômes de dépression ou d’anxiété peuvent apparaître,. De plus, une glycémie mal contrôlée (trop de sucre dans le sang) peut réduire l’énergie disponible pour le cerveau, entraînant de la fatigue mentale, des difficultés de concentration et une humeur instable.
Le microbiote intestinal, qui est l’ensemble des bactéries présentes dans nos intestins, joue aussi un rôle clé. Chez les jeunes qui consomment beaucoup de sucres et peu de fibres, l’équilibre de ces bactéries peut être perturbé. Cela peut envoyer des signaux négatifs au cerveau, contribuant à des troubles de l’humeur comme l’anxiété ou la dépression.
Ces interactions entre le corps et l’esprit ont des conséquences concrètes : les jeunes ayant des problèmes métaboliques sont plus susceptibles de souffrir de dépression, d’anxiété, de troubles du sommeil ou même de problèmes scolaires liés à une mauvaise concentration. Cela crée un cercle vicieux, car les problèmes mentaux aggravent à leur tour les déséquilibres métaboliques.
Pour briser ce cercle, il est essentiel d’agir sur plusieurs fronts. Une alimentation saine, riche en aliments naturels comme les légumes, les fruits, les protéines de qualité et les bonnes graisses, peut réduire l’inflammation et améliorer la santé du cerveau. Faire de l’exercice régulièrement aide aussi à mieux réguler la glycémie et à réduire le stress. Enfin, apprendre à gérer ses émotions, par exemple avec la méditation ou des discussions avec un professionnel, peut avoir un effet positif sur la santé mentale et physique.
En résumé, la santé métabolique et la santé mentale sont intimement liées. En prenant soin de son alimentation, de son activité physique et de son bien-être émotionnel, il est possible d’améliorer ces deux aspects pour vivre mieux, tant dans son corps que dans sa tête.
Comment un programme destiné aux habitudes de vie peut-il aider un diagnostic de TDAH?
Les comportements de santé, y compris la qualité de l’alimentation, l’activité physique et les comportements sédentaires, ont été associés au TDAH. Une étude a montré que les enfants ayant une meilleure qualité alimentaire, des niveaux plus élevés d’activité physique et moins de temps passé devant des écrans avaient un risque significativement plus faible de développer un TDAH. De plus, une revue systématique et méta-analyse a trouvé que les régimes alimentaires malsains, riches en sucre raffinés, augmentaient le risque de TDAH, tandis que les régimes alimentaires sains, riches en fruits et légumes, avaient un effet protecteur. Enfin, une autre étude a révélé que les enfants atteints de TDAH étaient plus susceptibles d’avoir des comportements de vie malsains, tels que la consommation de boissons sucrées, un temps d’écran excessif et une activité physique insuffisante. Ces résultats suggèrent que la promotion de comportements de vie sains chez les enfants pourrait réduire le risque de TDAH.
De plus, les données accessibles nous portent à croire que le processus diagnostic n’est pas toujours adéquat, et ce, d’autant plus que l’Institut national de la santé publique (INSPQ) et l’Institut nationale d’excellence en santé et en services sociaux (INESSS) affirmait encore récemment que seuls 3 à 5% des mineurs devraient éventuellement recevoir un diagnostic de TDAH. Cette prévalence est similaire aux normes européennes, mais aussi celles des autres provinces canadiennes. Il n’en reste pas moins que cet écart entre les chiffres des autorités sanitaires (3 à 5%) et la prévalence mesurée actuelle au Québec (17 à 22%) laisse craindre que d’autres maladies, probablement aux premières étapes de leur développement avant qu’elles ne deviennent chroniques, pourraient expliquer les symptômes trop facilement attribués au TDAH. Ces maladies seraient dès lors prises en charge trop tardivement, car le diagnostic pédopsychiatrique a occulté les nécessaires examens médicaux. De plus, l’INESSS recommande qu’on fasse un diagnostic différentiel avant de suspecter la présence d’un trouble mentale, ce qui, dans les faits, n’est pas suivi par les cliniques médicales.
Nous faisons l’hypothèse que les symptômes associés au TDAH, à l’anxiodépression et à la dépression pourraient cacher des problématiques métaboliques plus sérieuses qui ne sont pas prises en considération, ce qui peut amener des maladies chroniques plus sévères dès le début de l’âge adulte, car la direction thérapeutique est erronée.
Par ailleurs, les psychotropes sont un outil thérapeutique important, mais ils ne guérissent pas, ce qui fait en sorte que les personnes doivent prendre ces médicaments durant de nombreuses années. Cette démarche est cohérente avec les orientations des différentes directions de la santé publique des provinces canadiennes qui recommandent d’agir sur les facteurs protecteurs et les déterminants de la santé, avant de présumer qu’il y a nécessairement une maladie.
Le Centre Axis, au service de la communauté!
Dans le but de poursuivre sa mission d’accès à la santé préventive pour la population générale, le Centre Axis financera 85% de la valeur totale du programme à un enfant désirant améliorer sa santé métabolique et/ou psychologique à l’aide des méthodes préconisées dans le programme Propulsion santé jeunesse. Pour se faire, une preuve de revenu qui témoigne d’un revenu annuel familial de <62 000$ est exigée.
Références :
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